Grande période sans nouvelles, grande période sans internet, pourtant on ne s’est pas ennuyé : jetez un œil aux photos dans les galeries.

Des girafes donc, des hippos, de la brousse, des minibus toyota avec des chargements de 2 fois leur hauteur (véridique !) sur le toit qui tanguaient dangereusement, plein d’oiseaux multicolores, des scorpions, un varan ou pas loin (un lézard de presque 1 m de long !), des troupeaux de zébus aux cornes pas croyables, des touaregs, des peuls, des songhais, des bellas, des djermas, des haoussas, tout plein de représentants de communautés ethniques variées aux noms divers et aux tenues vestimentaires particulières, du soleil, des moustiques, de la chaleur le jour toujours, enfin un peu de fraîcheur la nuit, des rencontres assez marquantes avec des autochtones qui n’essayaient pas simplement de gagner de l’argent avec nous (question : qu’est-ce qui t’as le plus marqué en France ? Réponse : Ici, on ne pense qu’à une chose tout le jour, c’est manger, on a tout le temps la dalle, là-bas c’est pas ça, j’ai même vu des enfants qui jouaient avec des œufs !)…

Mais aussi…

Des diarrhées, des vomissements, des vertiges, un palu (Estelle), de la fièvre qui vous tient cloué au lit 2 jours (sans savoir ce que c’est, si ce n’est que ce n’est pas un palu), puis s’améliore 2 jours, puis recommence un bon coup un peu plus fort (moi), c’est aussi ça l’Afrique !

Et j’en oublie sûrement pas mal, parce qu’il n’y a pas vraiment eu de temps morts : le départ du cher docteur Chaumentin avec qui la cohabitation se sera bien passée… jusqu’au dernier jour… les démarches administratives pour les papiers de la voiture (aidées heureusement par le seul nigérien speed et efficace, en plus d’être serviable de façon « désintéressée », qu’il m’ait été donné de croiser jusqu’ici !)

le retour

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